De la sur-perception à la sous-participation: les cas Sherlock Holmes et Equalizer.

Equalizer et Sherlock Holmes, c’est toute la différence entre faire participer le public au fait en train de s’accomplir et le mettre devant le fait accompli, entre le rendre actif de son dispositif et le condamner à la passivité, entre jouer aux legos avec le personnage ou le regarder s’éclater tout seul. Continuer de lire De la sur-perception à la sous-participation: les cas Sherlock Holmes et Equalizer.

TRAINING DAY: L’EPILOGUE DU LOS ANGELES DES 90’S

L’avantage d’être confiné chez soi, c’est qu’on se retrouve vite à court d’excuses pour remettre aux calendes grecques la « to-do list » qui s’alourdit traditionnellement de jour en jour et de pages en pages jusqu’au traditionnel reboot du Nouvel-An (« cette année, je me met au sport et j’achète des rideaux »). Comme la mise à jour de ce blog en sommeil léthargique depuis quelques mois, et qui … Continuer de lire TRAINING DAY: L’EPILOGUE DU LOS ANGELES DES 90’S

ANTOINE FUQUA: THE LAST BOY SCOUT

Loin de moi l’idée de transformer ce blog en fan page (et quand bien même, j’fais ce que je veux, je suis chez moi), mais bon on ne choisit pas ses obsessions. D’aucuns estimeront que s’aménager des tranches horaires au revisionnage du Roi Arthur et des Larmes du soleil constitue le signe d’une vie cinéphilique médiocre, ou d’un temps libre excessivement mal dépensé. A ceux-là … Continuer de lire ANTOINE FUQUA: THE LAST BOY SCOUT

LE PROBLEME ANTOINE FUQUA

S’il y a bien une chose que l’on pourra pas reprocher à Antoine Fuqua, c’est bien sa volonté de forger l’identité de ses films sans reconduire ce qui se fait ailleurs. Aujourd’hui, (mal) copier la feuille des voisins doués et changer trois virgules de places suffit pour se faire appeler auteur à suivre. A l’inverse, ce bon Antoine s’est toujours fait un point d’honneur à ne pas aller à la gamelle avec les autres Continuer de lire LE PROBLEME ANTOINE FUQUA