
La guerre des mondes: Requiem pour un Massacre.
L’angoisse suprême, c’est de ne plus être en sécurité nulle part. C’est cette idée en vertu de laquelle La guerre des mondes a été perçu (à raison) comme un grand film post-11 septembre. Le danger peut venir de partout, nulle part où aller ni safe place dans lequel se réfugier : l’espace vital américain n’est pas compromis, il est littéralement anéanti. Tom Cruise a beau courir, fuir en avant est la seule option qui lui reste pour masquer son incapacité à influer sur le cours des choses. Continuer de lire La guerre des mondes: Requiem pour un Massacre.