THE WIZARD OF LIES: LA CULPABILITÉ DES 1%

Barry Levinson met Madoff à niveau de son spectateur, mais Madoff refuse de s’asseoir à ses côtés. Il résiste en permanence au récit de sa chute tel qu’il devrait se dérouler, parce qu’il ne peut pas en écrire le scénario. Logique pour quelqu’un qui a passé sa vie à définir les règles du jeu de l’univers dans lequel il évoluait. Continuer de lire THE WIZARD OF LIES: LA CULPABILITÉ DES 1%

LEON MORIN, PRÊTRE: LE REGARD DE JEAN-PIERRE MELVILLE

L’impénétrable Belmondo n’offrant aucune ouverture à une quelconque présomption, chacun de ses faits et gestes devient un objet d’études pour l’héroïne et le public. Chaque ligne de fuite, chaque déplacement, chaque jeu d’ombres traduit en images et en découpage le véritable enjeu qui anim Continuer de lire LEON MORIN, PRÊTRE: LE REGARD DE JEAN-PIERRE MELVILLE

TRAINING DAY: L’EPILOGUE DU LOS ANGELES DES 90’S

L’avantage d’être confiné chez soi, c’est qu’on se retrouve vite à court d’excuses pour remettre aux calendes grecques la « to-do list » qui s’alourdit traditionnellement de jour en jour et de pages en pages jusqu’au traditionnel reboot du Nouvel-An (« cette année, je me met au sport et j’achète des rideaux »). Comme la mise à jour de ce blog en sommeil léthargique depuis quelques mois, et qui … Continuer de lire TRAINING DAY: L’EPILOGUE DU LOS ANGELES DES 90’S